Avant d’être un démon, bien au delà des frontière d'Eternia vivait un village dans la région de Bohême. Mon père en était le forgeron et ma mère l’aidait. Durant mes jeunes années, je fus choyé par mes parents grâce a mon statut de cadet. Mon aîné, Meliodas, jouissais des avantages de sa forces en les aidant quotidiennement. Alors que je grandissais, mon frère devint le plus adoré du village. Fort, bel homme, n’hésitant pas a rendre service et a trimer plus que n’importe qui. On commença par différencier notre carrure, mais aussi notre manière de travailler. Puis lorsque les filles du village se mirent a nous regarder avec intérêt, j’entendais leurs messes basses. Elles nous comparaient sans cesses, mon corps plus svelte, mes cheveux plus clair.
Puis ces murmures vinrent aux oreilles des autres villageois, et les rumeurs ne furent plus caché. A chacun de mes actes ont m’asséné que je n’étais pas aussi fort que mon frère, pas aussi malin, moins beau, trop brusque, trop sentimentale ou même que j’étais ignorant des souffrances de mes parents par rapport a mon frères. J’en vint a détester les villageois et mon frère. Les seuls qui me montré encore de l’amour étaient mes parents. Chaque jour, ils m’enseignaient un peu plus comment tenir la forge. Et j’en était fier, Meliodas lui avait bien trop de corvée a faire pour les aider. Étant donné qu’il aidé presque tous les villageois.
Alors que j’étais partit chercher du bois pour le feu, j’eu la surprise de tomber sur une inconnue. On ne se parla pas, on ne fis que s’observer de loin. Puis je revins a nouveau dans ce même bois quelques jours plus tard. Elle y était a nouveau, intrigué je lui ai demandé qui elle était. Elle me répondit qu’elle chassait dans cette forêt. C’était une jeune fille étrange, elle ressemblait presque a une poupée tant son teint était cireux. Pourtant, j’en vint a la croiser a chacun de mes passages en forêt.
C’était une excellente chasseuse et j’adorais passer du temps avec elle. Elle avait toujours une histoire a raconter. Et plus je la voyais, plus je me sentais tomber amoureux d’elle. Lorsque je lui révélais mes sentiments, elle m’embrassa et je m’évanouis. En me réveillant je fus confus mais heureux. Je revins souvent la voir mais je m’évanouissais souvent. Je ne comprenais pas, je me sentais souvent très faible et j’en vint a ne plus pouvoir travailler a la forge. Peu importe qu’on me traite de fainéant ou que je ne soit pas intéressé par les villageoises. Je savais que mon coeur n’appartiendrais qu’a elle.
Alors que le Soleil était haut dans le ciel, mon père vint me parler et demanda a mon frère de venir aussi. Mon paternel nous expliqua qu’il avait pris une grande décision, il allait léguer la forge a Meliodas et non a moi. Étant devenus trop fragile je ne pouvais plus supporter le poids de la relève. Un coup de poignard, voilà ce que je ressentis a ces paroles. Mes parents qui avait laissé leur confiance en moi la retirait. Je me mis a tempêter, hurler, a frapper Meliodas. Mon père m’arrêta et me demanda d’aller me rafraîchir les idées. L’amour que je portait a mes parents devint haine. Je ne voulais pas me calmer, et je fit des ravages au villages. Me battant et injuriant n’importe quel passant. Finalement, j’en vint a me diriger vers la forêt. Peut-être que je pouvais partir avec elle, mon seule et dernier amour. Se sentiment était si pure qu’il réussit a me calmer.
Lorsque je la vit, je me mis a tout lui raconter et a lui demander de s’enfuir avec moi. Elle se jeta dans mes bras si fort que j’atterris par terre. La femme était au dessus de moi, faisant pression sur mon corps. Avec une force herculéenne et des yeux rouge sang, elle me regarda avec un appétit étrange. Elle commença a me dire qu’elle était un vampire et qu’elle allait me dévorer. Que personne ne se soucierait de ma disparition. Elle dévoila deux long croc, je sus qu’elle allait me dévorer. Je devais survivre, je n’allais pas mourir ! Alors je lui proposait un marché. Je réaliserais tout ce qu’elle souhaitait contre ma survie. Elle accepta, et me confia que je devait seulement briser un objet de culte dans notre village.
Le soir même, je m’infiltrais pour dérober le fameux objet. C’était une poterie auréolé d’une lumière blanche. En voulant la prendre, j’entendis quelqu’un m’appeler. En me retournant, je vis que c’était mon frère, Meliodas. Il me demanda ce que je comptais faire. Mais je vis sa méfiance. Avec mon plus beau sourire j’essayais de lui faire comprendre que je ne faisais rien de mal. Il ne me crus pas et me certifia que tout ce sue je faisais m’amené a des ennuis. Je craquais. Me jetant sur lui, je me mis a le tabasser. Lui criant que tout était de sa faute. Que ma vie aurait été bien mieux sans ce monstre de perfection qu’il était.
Seulement, Meliodas était bien plus fort que moi. Il commençais a se défendre et a vouloir m’immobiliser. Alors dans un ultime espoir je me mis a peser tout mon poids lui. Déséquilibré, il vacilla avant de s’écrouler. Dans notre chute, j’entendis quelque chose se briser. Avec précipitation je me relevais prêt a m’enfuir. Seulement, j’entendis mon frère pousser un râle de souffrance. En brisant le vase sous son poids, des débris de poterie l’avait entaillé le dos. Du sang commençais a se répandre sur le sol.
Meliodas se mis a m'appeler. M’implorant de l’aider. En le voyant si pathétique, ce grand frère avec qui on m’avait si souvent comparé, je me sentis fier. Résolu a le laisser mourir je me penchais vers lui et lui dis :
- Tu as ruiné ma vie Meliodas. Aujourd’hui je ne fais que prendre ce qui m’est dû. TA VIE EST A MOI !
Et dans un instant de rage, je pris un débris de poterie, prêt a l’enfoncer dans son coeur. Soudain des rugissement se firent entendre. Coupé dans mon élan, j’abandonnais mon frère pour sortir dans le village. Et là, la vision de l’enfer s’ouvrit a moi. Des dizaines d’horrible créatures comme la femme de la forêt envahissait le village. Ils tuaient les villageois, les croquaient ou les éviscéraient. Je voulus m’enfuir, prendre mes jambes a mon cou. Mais l’un d’eux m’attrapa et me susurra :
- Merci d’avoir brisé la barrière de magie blanche petit humain. Veronica t’en remercie ! En remerciement je vais te tuer vite !
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Lorsque l’on crois qu’on est mort, une certaine résignation nous apaise. Pas moi, mon réveille fut brutale, je voulais vivre ! Ce souhait me fut accordé, mais je n’était plus un homme. J’étais un a présent un démon. Un succube pour être plus précis. Si au début j’ai crus viré fou, aujourd’hui je n’échangerais ma vie pour rien au monde. Tout les jours ne sont fait que de débauches, fêtes et orgies. Coucher avec tout et n’importe quoi semble combler un vide qu’avait créée ma précédente vie. Vers mon premier centenaire, on m’initia a la cruauté et a la torture.
Vers le milieux de mes sept cent ans, on m’autorisa a gagner la surface pour une mission. Je devais aller chercher une personne ayant échappé a la mort et qui devait finir parmi. Le grand patron, fou de rage de n’avoir pas son nouveau sujet avait envoyé trois petits démon pour le tuer. A peine arrivé sur Terre, je vis les changements par rapport a mon époque. Décidé a me fondre dans la masse, je m’habillais comme un instructeurs.
Durant des mois je cherchais cet homme. Je ne m’attachais jamais au humain. La haine que j’avais pour mes semblable durant ma vie d’humain, bouillonnait encore dans mes veines. A chacun de mes passages je me faisais une joie de déclencher des querelles. Les monter les uns contre les autres me remplissait d’une joie malsaine qui me faisait frémir.
Un peu plus tard, je réussi enfin a le trouver cet homme. Pour m’approcher de lui sans éveiller ses soupçons, je devins le précepteur de sa fille. Une petite fille blonde aux air angélique. Mon plan était de d’abord de répandre des rumeurs a son sujet pour faire monter la colère de ses proches. Puis, lorsque toute sa vie sera ruiné, je tuerais son enfant chérie devant ses yeux.
Dès les première semaines, je mis mon plan a exécution. Le jour j’enseignais a sa progéniture et la nuit je filais répandre d’horrible rumeurs a son sujet. Cela ne fut pas facile, le bougre avait une parfaite réputation ! Mais après avoir insinué qu’il s’offrait a des pratiques occultes tordus, tout le monde m’écoutait.Tout se déroulai celons mon plan.
La seule ombre au tableau était la méfiance grandissante de mon employeur. Si cela continuait, je serais mis a la porte avant d’avoir pus finir ce que j’avais commencé. Bien que je détestais les enfants, je me forçais a lui faire plaisir. Et ... rien. Cette enfant était d’une tristesse ! Alors, pour la réussite de mon plan, je me mis en tête de la comprendre. La petite tête blonde était certes très chétive et... couverte de bleus. Ne l’ayant jamais remarqué, j’en fut très surpris.
La petite tête blonde devins alors une ... chose étrange a étudier. Oui, mon plan reposait sur sa confiance après tout. Je multipliais les attention envers elle. Si au début elle ne me montra qu’indifférence. Peu a peu, la petite s’ouvrit a moi. M’envoyant des sourires radieux comme le Soleil. Enfin j’avais sa confiance, je pourrais l’utiliser lors de ma phase final de mon plan.
Les gens ne faisaient plus confiance a mon employeurs, le poussant a bout jusqu’a le destitué de son travail ! Oui enfin ! Enfin le moment était venus ! La nuit même, je m’introduisais chez lui. Avec plusieurs outils pour jouer avec lui. Attentif au moindre son, je m’attendais a entendre des respiration endormis. Ce ne fut pas le cas. Des cris, des hurlement, des coups et des craquements résonnaient dans la maison. Lorsque j’atteignis la pièce a l’origine de ses bruits, je me figeais.
Mon employeur avait les mains couverte de sang. Ses yeux étaient injecté de sang et ses muscle étaient crispé a l’extrême. En m’approchant, l’homme se recula, comme pris sur le fait. Par terre, gisait le corps de sa fille. Elle était méconnaissable, battu a mort par son géniteur, on avait du mal a reconnaître que c’était une enfant. Je crois avoir ressenti a cet instant quelque chose. Un sentiment qui datait de ma vie d’humain. Ce sentiment se mis a bouillir, a monter, si bien que toute la nuit je me mis a torturer, saigner, faire hurler cet homme.
Dès qu’il fut mort, je pus retourner aux enfer. Durant des siècles, j’ai connus différents démons et démones. Dont une petite succube du nom de Lorelaï, j’aimais bien rester auprès d’elle. Nous aimions tout les deux jouer a torturer et a commettre des infractions. Enfin comme tout les démons. Et un jour, cette chère Lorelaï partit. On l’avait envoyé au pensionnat Ereno. Je pouvait bien vivre sans elle ! Pourtant, plus le temps passait, et plus les l’enfer me semblait ... vide.
Peu de temps après, Lucifer m’appela. Il m’expliqua que Lorelaï semblait s’écarter de sa mission. Et que par la présente, je devais aller l’aider voir la remettre dans le droit chemin s’il le fallait. Avec respect, je remerciais mon roi pour cette confiance et partit remplir ma mission. Et seulement ma mission ! Si je pouvais revoir Lorelaï, ce ne serais qu’un bonus.
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