Physiquement : Une démarche entreprenante ; un look on ne peut plus original. Ameeran détonne –et ça lui plaît-. Sa grande taille et ses courbes voluptueuses, sa longue chevelure d’ébène, son regard enflammé et ses lèvres pulpeuses. Ameeran plaît et aime plaire ; elle séduit, elle attire, comme le miel le ferait avec des mouches… Aussi, toujours vêtue de tenues sexy au possible, mettant en valeur tous ses atouts –librement inspirées des traditions indiennes-, l’apparence de la jeune femme n’en détonne pas moins. Car à ces traditionnelles tenues hindoues revisitées, s’ajoutent éléments et particules électronique diverses. Ameeran porte notamment toujours une sorte de visière –qu’elle a elle-même conçue et programmé-, sur lequel, à la manière d’un objet connecté, elle peut avoir accès à certaines fonctionnalités numériques (GPS, moteur de recherche etc).

Mais plus visible et déroutant encore ; son bras droit. Il s’agit d’une prothèse expérimentale, réalisée 3 années plus tôt, par une équipe scientifique. Relié à ses neurones, Ameeran peut contrôler cet implant comme un bras normal, et ce dernier ne peut rien faire de plus qu’un membre classique. De plus, tous les soirs, Ameeran doit le déconnecter de son corps et le recharger.

Personnalité :

Ameeran est une femme imposante, tant physiquement que de par sa personnalité. Forte d’un tempérament de feu, la jeune femme ne mâche pas ses mots et impose ses idées et opinions avec force. Elle a raison, toujours. Et gare à celui qui la contredira. Ameeran est une femme obstinée et de mauvaise foi, et n’acceptera jamais avoir tort… Pourtant, paradoxalement, elle apprécie se mettre en danger ; joueuse, elle adore parier ou être défiée, tout en sachant pertinemment qu’elle ne supporte pas perdre.

Ameeran, c’est surtout une femme qui s’apprécie… Beaucoup. Egocentrique et narcissique, elle ne sait que trop bien à quel point elle est talentueuse, douée et parfaite en tout. Malgré tout, la jeune femme est extrêmement exigeante envers elle-même –ayant beaucoup de mal à supporter le sentiment d’échec-. Jamais elle ne rechignera à la tâche, et se donnera tous les moyens possibles pour réussir ce qu’elle entreprend – d’autant que la jeune femme est très ambitieuse-.
Mais cette perpétuelle exigence vaut aussi pour les autres… Ameeran a toujours accordé beaucoup de respect et apprécié ceux qui s’efforcent de réussir –même si le succès n’est pas toujours à la clé-. A l’inverse, elle méprise et ne supporte pas ceux ne se donnant pas les moyens ou pire, se reposant sur leurs lauriers.

Ameeran, sous son pire aspect, est rancunière et impitoyable ; gare à ceux qui s’opposeraient à la sirène, qui sait se montrer cruelle et extrêmement mesquine, capable de tordre les pires pièges à ses ennemis. Car si elle n’est pas particulièrement sportive ou une bonne combattante, Ameeran est intelligente ; extrêmement intelligente. Et rusée. « La vengeance est un plat qui se mange froid » dit-on, et si elle ne se venge pas dans l’immédiat, gardez bien à l’esprit que l’indienne n’oublie jamais un affront.

Mais derrière cette apparence de femme forte et confiante, Ameeran peut s’avérer bien plus sensible qu’on pourrait le penser. Derrière cette épaisse carapace, se cache une jeune fille plutôt seule, cachant derrière sa très grande confiance en elle la peur de décevoir et d’être abandonnée. De plus, à l’abris des regards, il lui arrive, le soir, dans quelque élan de nostalgie, de verser quelques larmes en souvenir de son océan natal –qu’elle ne reverra plus jamais-.

Quod cum ita sit, paucae domus studiorum seriis cultibus antea celebratae nunc ludibriis ignaviae torpentis exundant, vocali sonu, perflabili tinnitu fidium resultantes. denique pro philosopho cantor et in locum oratoris doctor artium ludicrarum accitur et bybliothecis sepulcrorum ritu in perpetuum clausis organa fabricantur hydraulica, et lyrae ad speciem carpentorum ingentes tibiaeque et histrionici gestus instrumenta non levia.

Proinde concepta rabie saeviore, quam desperatio incendebat et fames, amplificatis viribus ardore incohibili in excidium urbium matris Seleuciae efferebantur, quam comes tuebatur Castricius tresque legiones bellicis sudoribus induratae.

Ac ne quis a nobis hoc ita dici forte miretur, quod alia quaedam in hoc facultas sit ingeni, neque haec dicendi ratio aut disciplina, ne nos quidem huic uni studio penitus umquam dediti fuimus. Etenim omnes artes, quae ad humanitatem pertinent, habent quoddam commune vinculum, et quasi cognatione quadam inter se continentur.